Decapitated
Cancer Culture
Genre Death Metal
Pays Pologne
Label Nuclear Blast Records
Date de sortie 27/05/2022

Site Internet

Vous allez me dire que j’attends toujours et encore du Decapitated, au vu de la dernière chronique que j’avais écrite pour la sortie de The first Damned, que vous pouvez consulter ici : https://metalalliancemag.ch/2021/06/decapitated-the-first-damned/

Il se trouve que c’est le genre de groupe de qui on attend toujours une actualité, un son nouveau, un dernier clip sorti. Et, même avec dix morceaux pouvant aller jusqu’à quatre minutes et cinquante-neuf secondes, Cancer Culture semble trop court.

J’exulte, rien qu’à l’idée d’écouter les nouvelles propositions de Decapitated.  Et bien sûr, je suis servie et bien servie ! L’introduction From the Nothingless with Love, morceau instrumental d’une minute seize, nous plonge directement dans le bain. Je vais avoir beaucoup de mal à choisir mon titre préféré ! Chacun a sa marque, son identité, pour No Cure, le passage voix grave sans batterie avec la basse me donne des frissons. La voix féminine dans Hello Death n’est autre que celle de Tatiana Shmayluk (Jinjer), rien que cela. Jinjer, qui œuvre, à l’extérieur de son pays en guerre pour le soutenir avec ce qu’il sait faire de mieux et Decapitated se sont tous deux produits au Hellfest dernièrement.

On peut aussi noter que Decapitated assied son statut de groupe de la scène Metal internationale non seulement avec ce feat européen mais aussi avec la présence de Robb Flynn de Machine Head sur le titre Iconoclast.

Suicidal Space Program, lui, commence par un riff qui reste en tête, rejoint par la batterie, puis intervient un changement de rythme avant que Rafal ne lâche sa voix si reconnaissable. Après deux minutes de ce traitement, c’est un son différent qui continue à nous emporter dans cette déferlante d’énergie.  Puis Rafal revient, nouveau solo-trio, quatuor finish instrumental où la guitare a le dernier mot.

Je peux continuer, il reste trois titres et je vous assure qu’ils valent le coup d’être écoutés. Là où Locked nous assomme sans sommation, Hours as Battleground monte doucement et retourne aux sources du Death dans les parties chantées. Les solos sont tous impressionnants, la cohérence de la production est là, malgré des morceaux hétéroclites, ce qui démontre le professionnalisme mis en place pour arriver à un album tel que Cancer Culture.

Il se trouve que c’est le genre de groupe de qui on attend toujours une actualité, un son nouveau, un dernier clip sorti. Et, même avec dix morceaux pouvant aller jusqu’à quatre minutes et cinquante-neuf secondes, Cancer Culture semble trop court.

J’exulte, rien qu’à l’idée d’écouter les nouvelles propositions de Decapitated.  Et bien sûr, je suis servie et bien servie ! L’introduction From the Nothingless with Love, morceau instrumental d’une minute seize, nous plonge directement dans le bain. Je vais avoir beaucoup de mal à choisir mon titre préféré ! Chacun a sa marque, son identité, pour No Cure, le passage voix grave sans batterie avec la basse me donne des frissons. La voix féminine dans Hello Death n’est autre que celle de Tatiana Shmayluk (Jinjer), rien que cela. Jinjer, qui œuvre, à l’extérieur de son pays en guerre pour le soutenir avec ce qu’il sait faire de mieux et Decapitated se sont tous deux produits au Hellfest dernièrement.

On peut aussi noter que Decapitated assied son statut de groupe de la scène Metal internationale non seulement avec ce feat européen mais aussi avec la présence de Robb Flynn de Machine Head sur le titre Iconoclast.

Suicidal Space Program, lui, commence par un riff qui reste en tête, rejoint par la batterie, puis intervient un changement de rythme avant que Rafal ne lâche sa voix si reconnaissable. Après deux minutes de ce traitement, c’est un son différent qui continue à nous emporter dans cette déferlante d’énergie.  Puis Rafal revient, nouveau solo-trio, quatuor finish instrumental où la guitare a le dernier mot.

Je peux continuer, il reste trois titres et je vous assure qu’ils valent le coup d’être écoutés. Là où Locked nous assomme sans sommation, Hours as Battleground monte doucement et retourne aux sources du Death dans les parties chantées. Les solos sont tous impressionnants, la cohérence de la production est là, malgré des morceaux hétéroclites, ce qui démontre le professionnalisme mis en place pour arriver à un album tel que Cancer Culture.