FireWing
Resurrection
Genre Metal symphonic
Pays États-Unis
Label Massacre Records
Date de sortie 23/04/2021

Site Internet

Groupe de Metal Symphonic originaire du Brésil et vivant actuellement aux États-Unis, FireWing sort, le 23 avril 2021, son premier album : Resurrection. Celui-ci est composé de 14 morceaux et le concept est basé sur une histoire fantastique, qui mélange plusieurs mythologies, comprenant une guerre entre deux personnages : Ember, le phénix de l’espoir et Vishap, la wyverne des ténèbres.

Raconter une histoire dans le genre fantastique, avec du Metal Symphonic, est une excellente idée qu’a eu le groupe et celui-ci nous propose 9 chansons avec paroles et 5 chansons sans parole, ces dernières marquant le début, le changement de chapitre ou la fin de l’histoire. Le premier morceau de l’album : Prelude : Moonlight of Despair est un arrangement orchestral qui nous propulse avec douceur dans l’histoire et qui va gentiment monter en rythme pour pouvoir enchaîner avec le morceau Obscure Minds. L’arrangement musical est fait de tel sorte qu’on puisse se projeter dans l’histoire, avec des morceaux pouvant être très rapides comme pour exemple avec l’action pour Resurrection ou plus calme pour les moments plus émotionnels avec Tales of Ember & Vishap : How Deep his Your Heart ? La manière dont les paroles sont chantées donne plus d’intensité aux textes.

Ce que j’apprécie avec cet album, c’est le fait qu’il raconte une histoire, en musique, entre le bien, représenté par Ember, le phénix et le mal, représenté par Vishap, la wyverne des ténèbres. Si on comprends bien les paroles en anglais et qu’on suit l’ordre d’écoute des chansons, on peut facilement se projeter en plein cœur de l’histoire et si celle-ci devait être adaptée en film, cet album deviendrait celui de la bande son originale. Le chanteur m’impressionne avec la puissance qu’il met dans les chansons et apporte en même temps de l’émotion.

Si vous êtes fans d’histoire fantastique, cet album est fait pour vous et la seule manière de vous en convaincre, c’est avec un morceau de celui-ci : Far in Time.