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Les néerlandais de The Monolith Deathcult officient dans le Brutal Death…. sauce The Monolith Deathcult ! C’est-à-dire avec orchestrations symphoniques et touche Indus à gogo !
Leur manière à eux de se démarquer est de s’inventer un son bien à eux. Et ce que je peux vous dire, c’est qu’ils ont trouvé leur voie… à moins que ce ne soit leur voix ?
The Monolith Deathcult n’hésite pas à explorer leur univers, quitte à perdre des fans au passage. L’important pour eux, c’est de créer en fonction de leur envie.
Sur V3 – Vernedering, le groupe a posé un postulat : comment créer des orchestrations encore plus épiques ? Les 8 titres de cet album sont au final un vrai défi que c’est imposé le groupe : rester cohérent tout en expérimentant des associations musicales antinomiques. De nombreux instruments sont présents sur l’album, ce qui rend encore plus hallucinant le travail de compos, d’arrangements et de post-prod !
S’il fallait définir la marque du groupe, dis-toi qu’il se trouve à mi-chemin entre celui de Ministry et celui de Dimmu Borgir.
J’avoue être pas mal déroutée par cet album. The Monolith Deathcult a le mérite de ne pas laisser indifférent. Si j’accroche beaucoup aux mélanges des sonorités Death / Indus, j’ai beaucoup plus de mal avec les morceaux parlés plutôt que chantés. Ils devraient pourtant titiller ma sensibilité cinématographique, étant amoureuse de vieux films. Pourtant il n’en est rien. Juste une simple envie de passer au morceau suivant et de découvrir quelles nouvelles bizarreries le groupe va nous offrir.
Séduite qu’à moitié, je vous invite tout de même à découvrir cette conclusion de chapitre dans le monde bien à part de The Monolith Deatcult. J’attends vos avis, car il m’est avis que personne n’aura le même.
Finalement, ne serait-elle pas là, la force du groupe ?
