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Un album qui commence sur une voix est pour moi un signe que le groupe a une bonne cohésion entre instruments et voix et c’est le cas de Earthrise du groupe The Quill, une voix qui séduit avec une instrumentale qui vient soutenir cette voix pour donner un tout puissant qui rappelle les mélodies héroïques de Iron Maiden et la voix réverbérée de Ozzy Osbourne. Les moments purement instrumentaux sont lourds et puissants, du stoner mais en gardant la globalité d’un bon vieux hard rock.
Le morceau Dead River est la balade de cet album de 9 titres, elle permet aux auditeurs de respirer un peu, de boire une bonne bière en se laissant porter par le dernier titre de cet album. Après des morceaux plus motivants les uns que les autres, il est agréable de tomber sur un retour au calme et permet de relativiser sur le peu de titres présents sur l’album, car si le groupe The Quill a bien un pouvoir, c’est celui de nous donner des morceaux énergiques qui nous poussent à en redemander!
Donc conclure sur un morceau apaisant donne ce sentiment de satisfaction du retour au silence après en avoir pris plein les oreilles durant un concert. On se sent défoulés et c’est bien pour moi un des meilleurs bienfaits de la musique et Earthrise est un album qui réussit ce pari.
