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Bienvenue à l’asile ! Celui de Zornheym. Ici les gens sont possédés par une musique étrange, parfait mix entre Death et Black symphonique. J’ai piqué ta curiosité ? Ca tombe bien, viens et entre dans l’expérience Zornheym. Tu n’as qu’à fermer les yeux. Laisse-toi envahir par ce Metal symphonique qui paraît tout droit inspiré par Danny Elfman époque Tim Burton, dans certaines sonorités. Pas besoin d’être fou. Juste besoin de te laisser aller.
The Zornheim Sleep Experiment devrait ravir les fans d’Avatar. Leurs univers sont finalement assez similaires ; Zornheym apporte juste des envolées symphoniques supplémentaires (peut-être parfois un peu trop à mon goût).
Leur zic est construite de manière théâtrale, pour nous raconter une histoire, une histoire de fous : bienvenue à l’asile Zornheym. Comme à Arkham, la crème de la crème est là, les crises d’angoisse en moins. Juste un plaisir fou à l’écoute, celui de partir dans un univers pensé pour voyager dans les esprits les plus dérangés, les plus torturés. La force de Zornheym se trouve dans ce chant qui alterne entre différentes textures de voix de manière hallucinante, comme une réponse aux émotions que la musique nous procure.
La batterie martèle pour donner une sensation d’urgence constante. La guitare vrombit et nous offre de délicieux riffs, qui, couplés aux sonorités des violons, transcendent l’ensemble.
Écouter The Zornheim Sleep Experiment, c’est comme se mettre dans la peau de Docteur Jekyll et Mister Hyde version Metal. Zornheym possède un univers riche et sombre. Une histoire de fous que cet album. Mais une histoire qui vaut certainement la peine d’être retranscrite dans un show démesuré.
