Leach
Lovely Light of Life
Genre Thrash’n’roll
Pays Suède
Label Brutal Records
Date de sortie 21/05/2021

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Le Thrash’n’roll, je ne connaissais pas, et Leach non plus, malgré que Lovely Light of Life soit leur troisième album… désolée. Par contre, le Thrash, je connais, l’analyse des morceaux et la puissance du hardcore qui donne la patate aussi. Alors, le premier titre est un Prelude à l’énergie musicale déployée ensuite. La voix de tête sur Serenade m’a semblé un peu jeune à la toute première écoute, mais c’est un tel travail de longue haleine de la faire monter au niveau de sa voix de gorge que Markus Wikander ne démérite pas.

Il y a des albums qui vous envoûtent, et choisir sa chanson préférée est bien difficile. On commence et on ne l’arrête plus jusqu’à la dernière note de D.O.D. La réalisation de Christian Silver de chez Studiomega est nickel. Je peux vous parler de Gaslighting, une intro à la basse, histoire de réveiller nos entrailles, puis la suite qui nous démontre qu’Anders Nordlander (basse) et Joachim Dahlström (batterie) ont une très bonne maîtrise et entente techniques au service du groupe et de nos oreilles. À la 42ème seconde, l’entrée en scène de la voix, ni trop peu, ni pas assez, un dosage avec des effets juste ce qu’il faut, un renfort sur certains mots. Markus Wikander intervient et laisse place à la musique, une envolée discrète à 1’23 donne une autre nuance à la chanson et un triple solo (je sais ça n’existe pas, mais écoutez^^) à 1’52 m’a fait me rendre compte que dans ce morceau, la musique finit les phrases des chants et vice versa. C’est officiel, j’aime le Thrash’n’roll, enfin surtout Leach. Allez les écouter, encore et encore !!!

Post-scriptum : Le cd est en précommande et arrive le 4 Juin.