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Daughters of the Night commence avec Spectral Ruins, une introduction musicale qui prépare l’auditeur, sans trop en dévoiler sur le contenu de l’album. Du début à la fin, Daughters of the Night ensorcelle. Que ce soit grâce aux solos de guitare, à la batterie, à la basse ou aux vocaux. Je me suis retrouvée projetée à l’époque où j’écoutais en boucle Within Temptation. Honnêtement, je pense que pour tous les fans de Nightwish, Within Temptation et Epica, Nocturna correspond. Nous nous retrouvons dans le même registre, sauf que là, nous avons deux chanteuses qui apportent chacune une énergie incroyable à chaque chanson.
Ce sont les voix des chanteuses qui m’ont poussée à prendre en charge cette chronique. Leurs voix s’harmonisent tellement bien, honnêtement c’est du velours pour les oreilles. Et c’est la chanson New Evil qui m’en a définitivement convaincue. J’ai accroché aux premières notes de guitare. Des notes rapides et soutenues par une batterie rythmée. Arrivent ensuite les voix de Grace et Rehn et nous voilà partis pour une chanson incroyable du début à la fin.
Ce qui surprend le plus avec l’album, c’est qu’on se laisse vite prendre par les chansons. J’en suis à ma sixième écoute lorsque j’écris ces lignes, et j’aime toujours autant les compositions. Je me suis même surprise à fredonner certaines mélodies… Le groupe italien sera à surveiller dans les prochains mois ! La qualité du son et des compositions, la justesse de tous les instruments… ils peuvent aller droit vers le succès et rejoindre les grands de cette scène.
Nocturna fait partie de mes grandes découvertes de cette année. La qualité de leur travail est incroyable et, musicalement parlant, il vous transporte grâce à une rythmique soutenue. J’ai aimé l’album du début à la fin. Aucune chanson ne m’a laissée de glace, elles apportent toutes un petit quelque chose à l’ensemble. Que dire de plus ? Foncez ! Allez-vous procurer Daughters of the Night, vous ne serez pas déçus.
